Obsèques : tout ce qu'il faut savoir
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Envoyer ma questionPour chaque être humain, la mort est une réalité inéluctable. Chacun y passe, mais au Moyen âge, l’une des plus grandes craintes était de se retrouver enterré vivant. C’est pourquoi de nombreuses techniques ont été mises sur pied pour prévenir en cas de réveil d’un prétendu décédé.
Était-il vraiment mort ou juste enterré vivant ?
Avant le 19ème siècle, l’homme a toujours eu peur d’être enterré vivant.
De nombreuses anecdotes pullulent sur Internet, relevant que certaines personnes se réveillaient après avoir été enterrées. Cela se passe encore de nos jours, surtout dans les pays en voie de développement.
Cependant, une pratique est née en France. Celle-ci consistait à croquer l’orteil d’un défunt pour s’assurer de son décès du fait de son manque de réaction. Il s’agit précisément du croque-mort (ou croquemort) dont était chargé l’employé des pompes funèbres.
L’autre technique la plus utilisée pour attester un décès est l’usage d’une clochette. Mais, seuls les riches à la demande, étaient inhumés avec une ficelle attachée à leur doigt ; laquelle était reliée à une clochette se trouvant hors du cercueil. Il suffisait donc d’un simple mouvement pour que celle-ci sonne, alertant que le prétendu défunt n’est pas finalement décédé.
Aujourd’hui, toutes ces pratiques ont disparu laissant place à la médecine moderne. Du fait de l’évolution de la médecine, il existe de nombreux appareils aidant à déterminer un arrêt cardiaque.
L'organisation des obsèques
Après un décès, l’organisation des obsèques (crémation ou inhumation) peut être réalisée par une entreprise de pompes funèbres si celle-ci dispose d’un agrément d’opérateur funéraire.
Son rôle ici est de fournir le cercueil et de transporter le corps. Elle peut facultativement effectuer d’autres services : soins de conservation, signature de l’acte de décès, séjour en chambre funéraire, organisation de la cérémonie civile ou religieuse, faire-part, marbrerie, entre autres.

Il peut aussi arriver que la famille ou les proches s’occupent entièrement de toutes les obsèques. Néanmoins, la loi impose d’agir conformément aux dernières volontés du défunt, au risque de faire l’objet d’une poursuite judiciaire. Généralement, dans ce genre de situation, l’accusé est condamné jusqu’à 6 mois de prison avec une amande de 7500 euros.
Les volontés du défunt sont généralement laissées dans une lettre, un contrat de prévoyance obsèques, ou encore un testament déposé auprès d’un exécuteur testamentaire ou d’une personne de confiance.
Réglementation et législation liées à une concession funéraire
La concession funéraire, c’est un espace situé dans un cimetière. Elle est concédée à une personne ou un concessionnaire, qui désire fonder une sépulture. La concession est autorisée par la maire et peut être désignée à perpétuité ou sur une durée de 15, 30 ou 50 ans.
On parle alors de concession perpétuelle, concession temporaire, concession trentenaire et concession quinquagénaire. Les conseillers municipaux décident du type de concession funéraire qui sera vendu (individuel, collectif ou familial). Peut-on garantir la durée de sa propre concession ? La réponse dans cet article.
La concession est cédée en échange d’une redevance dont la somme est librement fixée par le Conseil municipal. Une fois le terrain concédé, le concessionnaire peut construire un caveau, une chapelle pour cercueils et urnes ou encore un monument funéraire, où l’on pourra procéder à l’enterrement.
Connaître les démarches pour l'acquisition d'une concession funéraire.

Comment se déroule une cérémonie funéraire ?
Lorsqu’une personne meurt, il y a deux possibilités : soit la famille procède à une inhumation, soit elle effectue une crémation. La crémation est le procédé qui consiste à brûler le corps d’un mort jusqu’à obtention des cendres. C’est une alternative à l’inhumation. L’opération se réalise au sein d’un crématorium grâce à un four à crémation, chauffé à une température d’environ 900°C.
Les cendres du défunt sont par la suite recueillies et placées dans une urne. Celle-ci peut ainsi être inhumée dans un caveau familial. L’urne peut aussi être placée dans un columbarium. Il s’agit d’un monument funéraire situé dans un cimetière et comportant plusieurs niches. Celles-ci aident à recevoir les autres urnes.
Un jardin est également un endroit où l’on peut déposer les cendres d’un défunt. Mais, avant de prendre une telle décision, il faut avoir une autorisation de la préfecture.
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Rédigé par : Charles Simpson fondateur du site Meilleures Pompes Funèbres
Article publié le 14/03/2024
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