Revenants : pas si rare que ça ?

Être enterré vivant est une chose qui était monnaie courante quelques siècles auparavant du fait de la faible fiabilité de la médecine. Lors d’exhumation, nombreux sont les cercueils qui ont été retrouvés griffés de l’intérieur. Toutefois, aujourd'hui les progrès de la médecine permettent de déceler les « fausses morts » de manière sûre.

Être enterré vivant est une angoisse universelle. Elle peut être liée à la claustrophobie mais aussi à la peur du passage dans l’au-delà. 

Légendes urbaines et films véhiculent ce fantasme, on peut entre autre citer Kill Bill 2 de Quentin Tarantino dans lequel on voit l’héroïne se débattre pour sortir de son cercueil à grand renfort de figures de Kung Fu.

On voit également fleurir de nombreuses études douteuses sur le nombre de personnes ensevelies vivantes. Une des plus viralisées fait état d’une personne sur 500.

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En Chine, une femme de 95 ans est déclarée morte en février dernier. La tradition chinoise veut que la famille veille le défunt à domicile. Six jours plus tard, ses proches ont la mauvaise surprise de retrouver le cercueil vide. Ils retrouvent finalement la femme dans la cuisine en train de se préparer à manger. 

Au Brésil, c’est un nouveau-né qui renaît. Déposée au pied de l’autel d’une église de Londrina, la petite Yasmin décédée à sa naissance, s’est mise à pleurer et à s’agiter sous le regard ébahi de sa grand-mère.

Bien que la véracité de ces histoires restent à prouver, une chose est sûre, la peur de finir vivant sous terre est bien présente dans notre société et cela depuis des siècles. 

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